Philosophiques
L'ambition est taquine, elle sait autant être utile que détruire celui qui y touche. Et si l'on est pas prêt, elle vous prend par la main vers le désir de pouvoir.
L'individuel doit se méfier de l'ambition, elle lui sera utile pour lui-même et le détruira face au autres.
Soyez ambition envers vous-même, ne cherchez qu'à vous dépasser. Le pouvoir sur les autres n'apporte que la déchéance et la perte de l'humanité de l'individu.
Nuisance humaine, individualité corrompu par le groupe. L'humanité, aussi grande soit elle, est composé d'humain petit, cherchant le pouvoir, la facilité, la bêtise et quelque chose de mauvais dans le regard de l'autre.
Les autres c'est lorsque la somme d'individualité cesse pour devenir "un" groupe. Une entité néfaste qui poli les individus pour en faire de suivants.
Les autres sont les architectes des droits et des devoirs. En ces termes, ils jugent et se donnent le droit de dire quoi penser et comment vivre pour atteindre un bonheur promis qui se réalise dans leur regard. Voulez vous être heureux, ou voir un bonheur qui n'est pas le votre dans les yeux des autres.
Ils ont se désir d'avoir raison. Ils savent changer les sujet et déstabiliser l'individu par des détails. Quand ils sont d'accord c'est pour mieux vous emmener vers leur déclin.
À usage unique, beauté unique. À beauté complexe
Voyez le bonheur comme un imprévu. Méfiez-vous de son impatience. Sachez lui donner un champ assez grand pour que jamais il ne se révolte.
C'est une tempête qui vous surprend
une douche qui vous détend
Un sentiment contraignant
où il faut apprendre à prendre son temps
Que son champ lui paraisse grand
Pour que jamais ses tourments
Vous emportent en vous perdant
Et pourtant nous le cherchons, ce bonheur... Personnel, torturé, sado ou masochiste, dans les yeux des autres.
C'est dans la promesse d'un bonheur partagé que les autres nous écrasent lentement, transforment notre belle indépendance en boue puante et suintante, polluée pour nous intégrer au golem mou et malin des autres.
Le bonheur qu'il nous faut et celui que l'on désire sont deux choses différentes. Savoir s'écouter, c'est savoir accorder ce bonheur désiré et son frère, le bonheur nécessaire.
L'homme est coincé, il doit trouver un équilibre entre ces deux formes de bonheur, le voulu et le nécessaire.
Le problème de l'homme, c'est que c'est le bonheur voulu qui le domine. C'est un bonheur qui l'entraîne vers son déclin.
Pour bien déterminer le bonheur qu'il veut, il doit passer avant par le bonheur nécessaire.
le bonheur nécessaire devient comme une éducation au vrai bonheur. S'éduquer c'est se préparer, c'est jouer avec le temps, accepter l'effort, pour mieux profiter.
Un profit instantané cache souvent une chose malsaine et se paye très cher.
Les autres ont, au fil du temps, rendu les chemins inintéressant. Ceux ci sont devenu un zone d'attente entre deux points, alors que chaque chemin doit être une expérience qui nous transforme.
Entre les transport qui créer du stress et de l'impatience que le voyage devrait développer la réflexion et la curiosité. Les repas plus vite préparer, plus vite manger sans goût et sans savoir ni apprentissage.
Encore une fois en offrant ce que la masse désir, l'humain a été dans le sens inverse de sa grandeur. A quoi sert d'être rapide vers la bêtise quand le chemin vers la grandeur est passionnant et captivant.
"vite partie, vite arriver", quand on sait que l'arrivé de la vie est la mort, ça donne envie d'aller vite.
Les chemins tout tracé m'emmerdent. D'où vient cette prétention qu'un homme devrait forcément passer à droite plutôt qu'a gauche. Le propre de la promenade est de justement ne pas avoir de chemin, de se laisser porter par la nature et pas par encore l'homme qui a tracé un chemin. Mais pourquoi l'homme veut-il tant se rassurer !
Comprendre pourquoi c'est savoir qui.
Savoir qui c'est apprendre à vivre avec.
De soi
C'est en sachant ce que je suis que je sais comment cheminer.
Tout être qui a accepter son état de créateur est, par ce faite, un individualiste sans le savoir. Son indépendance a l'influence des autres et son besoin d'être unique le pousse a se complaire de la force d'un lion Nietzschéen qui serait conduit par une phase donné, à un moment fixe de sa vie.
Le plus beau cadeau que l'humanité nous donne c'est la différence. Tout nos individualités qui se côtoie, se rencontre, se complète dans le hasard des rencontres.
C'est incroyable l’énergie que les autres donne dans le besoin d'abaisser l'individu à leur niveau. Être indépendant demande un détachement sans défaut.
Et pourtant, que serions nous sans nos semblable, des ermites sans village.
La différence est facile a vivre pour ceux qui l'utilisent comme faire valoir et la fabrique.
Comme un devoir, comme les écailles doré dans le désert ou le chameau Nietzschéen va puiser la force du lion. Suivre et être par default d'accord en tout chose avec les autres est la plus mortel des maladies pour l'esprit
Être d'accord par défaut, suivre sans remettre en cause une idée est un confort qui tu l'intelligence du monde. On devrait s'étonner que lorsque tout le monde accepte le même traitement et non ridiculiser celui qui s'aime avant d'aimer le bien commun.
Il est important de démentir les regards posés sur sois. Corriger les jugements attifes de ceux qui comptent. La nécessité d'être vrai au yeux des fréquentations.
Nous sommes forcément dépendant. Il ne reste qu'à choisir de quoi. La vie ? L'autre ? Drogue ? Solitude ? Idées ? ...
Encore une fois si le choix ne nous reviens pas nous ne sommes pas nous même.
Le désir est excès. Une promesse excitante et motivante.
Tout demande une éducation. C'est peu être la grande différence avec le reste du règne animal. Si il faut en avoir une.
Plus le sentiment parait simple et acquis, plus il demande de l'éducation et de l'apprentissage. Le bonheur, le beau, l'amitié, le respect...
L'humain née éponge.
La nécessité d'éducation pli l'humain a l'humilité.
Éduquer c'est libérer. Si jamais tu ne t'éduques, jamais tu pourras vivre, tu ne feras que survivre.
Lorsque nos parents nous donne une éducation c'est un acte d'amour, un passage qui ne doit pas être lié à un profit tel qu'il soit.
L'espoir fait rêver, et le rêve c'est la vie que l'on aura jamais
L'esthétique a l'usage de l'humanité est forcément une antithèse. Les humains ont un besoin vitale de différence et de confrontation. De désaccord et de bataille. Si l'hestetique prône une forme de logique, de morale. L'humainité a besoin d'étique, d'indépendance et de différence .
C'est lorsque l'homme acceptera sont illogisme humain, quand il arrêtera de s'inventer un destin qu'il vivra comme il doit.
Est ce que les arbres pousse alignés dans un forêt, est ce que les plantes nous offre des fleurs selon un nombre toujours paire. Est ce que la nature est laide.
La ville est autant déshumanisant que l'architecture y est sensible et humaine. Peut on penser que l'équilibre sauvera l'humain.
Ce serait trop facile et voué au désastre de conclure que la solution serait dans le cahot.
L'expérience physique doit être retrouvée. Nous avons une nature profonde que nous avons trop longtemps oublié. s'écouter avant d'écouter les autres. Prendre en compte que rien ne doit être pris pour acquis. "toutes les roses on des épines. il y a beaucoup d'épine sans roses" disait Schopenhauer.
Le pire dans le rapport aux autres, c'est facilité qu'on les humains a minoré les différences entre eux, au lieu de les élever en vertus.
Avoir les mêmes expériences ne limite pas l'importance de l'expérience individuel. Comme si chaque expériences dans l'humanité avaient une puissance et une importance donné et que nous nous la partagions. Sottises
Comment est ce possible aujourd'hui encore de donner du crédit au pensé qui différencie l'homme de la femme. Il n'y a qu'une seul entité, c'est l'individu.
L'homme et la femme foule la terre de la même façon. L'homme et la femme savent être moche de la même façon. L'homme et la femme savent haïr de la même façon. L'homme et la femme respire comme chaque être vivant sur terre. L'homme et la femme jalouse de la même façon. L'homme et la femme sont malade de la même façon. L'homme et la femme vieillisse de la même façon. L'homme et la femme meurent de la même façon. L'homme et la femme souffrent de la même façon. L'homme et la femme jouent de la même façon.
Alors respectez-vous et soyez individu. Ne jouez pas le jeux des autres.
Le hasard de la vie nous dépasse complètement. Cette incroyable hasard qui nous à vu naître à fait de nous des compagnons de souffrances, preuve du non-fondé du destin.
Il faut apprendre à dompter le hasard pour jouer avec. Transformer chaque hasard en réussite.
Comment est ce possible aujourd'hui encore de donner du crédit au pensé qui différencie la femme d'homme. Il n'y a qu'une seul entité, c'est l'individu.
La femme et l'homme foule la terre de la même façon. La femme et l'homme savent être moche de la même façon. La femme et l'homme savent haïr de la même façon. La femme et l'homme respire comme chaque être vivant sur terre. La femme et l'homme jalouse de la même façon. La femme et l'homme sont malade de la même façon. La femme et l'homme vieillisse de la même façon. La femme et l'homme meurent de la même façon. La femme et l'homme souffrent de la même façon.
Alors respectez-vous et soyez individu. Ne jouez pas le jeux des autres.
L'expérience de la honte
L'homme est un animal qui a les joues rouge.
Nietzschéen
Alors que l'individu nous enrichie et est de compagnie nécessaire au bon fonctionnement de la pensé. Les autres sont d'une nocivité toute relative à leur nombre.
Un humain seul est, de par sa situation, constamment ramené à sa petitesse face au monde. Cette humilité forcé lui procure un intérêt, tout relatif a sa personne, basique.
C'est lorsque l'humain se regroupe qu'il devient dangereux. Sa propension a chercher le pouvoir et la bêtise en fait un mal qu'il est nécessaire de fuir.
Toutes idées est louable tant qu'elle est vécu en tant qu'individualité pur. Seul les idées qui cherchent le pouvoir sont négligeable et mérite qu'on les chasses (religion, secte, politique...)
Toutes pensées, entité dites impérissable n'est que mensonges et paraboles.
L'individu n'a que sa limite d'être, corps et âme. Périssable il est, périssable il créé. Ne rien prendre pour acquis, toute idole n'est que le masque du pouvoir sur l'individu.
Sans s'éloigner du monde comme Nietzsche ou jouer la différence comme Schopenhauer. L'individu doit savoir rester seul au milieu de tout le monde tout en cultivant sa solitude d'esprit.
L'individu mérite tout l'attention que l'on peut lui porter. Il n'a pas moins de mérite que nous. Il est important qu'il s'exprime tout autant que nous. Chaque individu mérite le respect que nous nous portons à nous même.
L'individualisme est la plus grande vertu de l'humain mais aussi le plus lourde a porter. Elle offre une plénitude de l'âme et un sagesse de l'instant avec lesquelles il est difficile de converser. L'individualisme est exigent pour l'humain, il demande un discipline mentale de tout les jours et est ouvert au désireux d'aller sur leur propre chemin.
Recherche d'être et rester sois au milieu du monde. Volonté d'être fidèle à notre moi primaire. Composition indispensable de l'humain véritable. Il faut prendre soin de son individualité comme de sa propre vie. Ne jamais laisser le bêtise des autres s'en approcher. Cela doit être la première tache de chacun.
Lorsqu'elle est sincère est toujours salué par l'esprit.
À l'inverse, la simplicité d'esprit est bien plus séduisante que le finesse d'esprit. Il faut savoir l'éviter au maximum.
L'indépendance, lorsqu'elle est vécu sincerement, offre comme un rempart à la bêtise humaine. Si la douleur est présente quand les autres tentent inévitablement de rabaisser la diffference à la bassaisse du pareil. Lorsque cette première sensation est maitrisé, la distance posé entre le différent et les autres lui est confortable. Elle offre un filtre entre les intéressants et les autres
L'esprit des autres nous pervertie très tôt dans la vie. Notre entourage et les rencontre extérieur cherche en nous leur bonheur et projettent des images de désirs et de rêves qui ne sont pas les nôtres.
Et nous devons avec se mal nécessaire. Nécessaire à notre construction. Il est nécessaire de savoir ce que nous fuyons pour savoir où nous allons.
Mais pourquoi, et surtout de quoi l'homme a t il besoin de se rassurer. Garder des trace de son histoire pour être sur d'avoir un légitimité ? D'avoir vécu ? Chercher un rôle, une raison de sa présence ?
La vie n'est qu'une salle d'attente où l'on rentre par une porte et ressort par l'autre quand c'est notre tour. Sans raison, sans lois, sans medecin pour nous appeler.
La différence entre la force et l'invulnérabilité c'est que l'invulnérable n'a pas besoin de force.
Quand savons si nous faisons fausse route ? Est ce que je cherche l'aprobation dans le regard des autres, est ce que je ne me vends pas à eu dans l'espoir de me convaincre à travers eux que je ne me trompe pas dans mes choix ?
Mon corps me parle, il impose sa lois de douleur et de petits plaisirs. Mon esprit veut comprendre, il cherche à savoir pourquoi en ayant conscience qu'aucun chemin est moins bon qu'un autre, seul le mien est celui qu'il me faut.
Écouter le corps, suivre l'esprit. Un corps instinctif, plein de violence et de désir. Un esprit contemplatif plein de compassion et de haine. Une guerre entre deux être opposés attaché ensemble par le hasard de la vie qui m'accompagne tranquillement jusqu'à ma mort.
Je me trompe sûrement, je me suis toujours trompé. Mais le propre de la liberté de l'être n'est pas de se tromper ? J'ai choisie la voie la plus instable, celle de la création, de la recherche de sois et du constant doute. Pourquoi se faire tant de mal ? Pourquoi ne pas chercher un bonheur simple, fugace mais vrai...
Qu'est ce qui nous pousse à nous chercher alors que nous sommes née avec nous même. Entre ce corps utopique et l'esprit dystopié. La vie est une souffrance qui coupe le grand néant duquel on sort lorsque l'on nait et là où l'on retourne lorsque l'on meurt.
Je me demande quel serait la beauté du monde sans cette pensée judéo chrétienne du péché, de l'erreur qui nous bride et nous tue à chaque pas un peut plus.
SI je ne me sentais pas l'âme d'un pécheur quel serait mes choix ? Prendrai-je les même tournant au même endroit ?
je vote pour la condamnation à mort de l'échec, de la faute, de la réussite, de l'honneur, la gloire, l'erreur, du mal, du bien et autre jugement de quantité comparative entre des individu incomparable qui ne trouve leur raison qu'en eux-mêmes.
Je ne suis pas responsable de l'endroit où je suis née. Je ne suis pas responsable des fautes de mes pères. Je ne suis pas les tampons et autre marque d'esclavage républicain, religieux et sociétal que l'on a posé dans mon dos. Je suis moi, rien de plus, rien de moins. Juste un hasard sans signification et sans rôle donné. Je n'ai pas de bute, je n'ai pas de mission. Je ne cherche pas la vie, je ne cherche pas la mort. Je suis rien.
Être rien est sûrement le pire constat où je pouvais arriver. Car de ce rien peut tout naître, il suffi du plus petit des choix. Un choix infime. Le plus insignifiant des choix nous enlève le privilège d'être personne. A nos yeux d'abord, et aux yeux des autres ensuite. Avec les yeux des autres viennent les jugement, la comparaison, la jalousie, l'admiration, la haine, l'honneur, l'amour. Autant de graine de mort qui germe en nous et finissent par nous tuer.
Il faut se débarrasser de tout sentiment de bon et de mauvais. Nous devons donner notre vie à être sans distinction d'être, ou mourir.
C'est lorsque la tyrannie du vouloir cesse que nous retrouvons notre liberté. Lorsque nous retournons paisiblement là d'où nous venons que nous sommes nous-même, sans aucune influence des autres. Socrate devait avoir raison, il serait peut-être temps de devoir un coq à Esculape.
Table de loi
Les magasines des autres
Les chansons des autres
La vie des autres
Les devoir des autres
La cuisine des autres
Les droits des autres
La paroles des autres
Les règles des autres
La mode des autres
La tv des autres
Le destin des autres
La croyance des autres
Le jugement des autres
Le rythme des autres
La beauté des autres
Le déclin des autres
La saleté des autres
L'amour des autres
L'amitié des autres
1- Adapter les sanctions selon les personnes.
2- Avoir deux oreilles et une seule bouche.
3- Prendre des décisions.
4- Accepter d’écouter les bonnes comme les mauvaises nouvelles.
5- Prendre des décisions réfléchies, sans y ajouter l’émotion.
6- Etre méticuleux permet de rester le N°1.
7- Tenir parole.
8- Mesurer les conséquences de ses actes.
9- Ne jamais faire rien pour rien.
10- Savoir gérer les hommes et les projets.
Certaines personnes sont au milieu et le vivent très bien. Lâche de la pensé ou trop absorbé par l'instant pour y prendre position ?
C'est la fin de vie qui me préoccupe comme un envahisseur inarrêtable qui peut débarquer n'importe quand.
Soyons vigilant, apprenons à rajeunir et gardons nous du malheur.
Une des plus puissante arme de destruction massive des autres, c'est une normalisation des expériences.
Les sentiments et le vécu que chaque individualités ressort des expériences sont différent et mérite tous d'être considérer comme unique et respecter indépendament de tout autre expérience. La comparaison est une grossière preuve d'un vouloir de puissance du groupe sur l'individu.
Se méfier de la nécessité, l'individu fait tout pour lui. Il y a de l'utilité en toute chose. Et c'est prenant connaissance de la pureté des vertus (désirs, besoin, envie, rencontre...) que l'on peut manœuvrer le gouvernail de son être pur.
Pourquoi, dans leur grand raccourci d'idée mauvaise, les autres lient forcément la peur et l'appréciation. Je peux aimer ce qui me fait peur et détester une autre chose, pour laquelle je n'éprouve aucune appréhension.
À l'orée de la vie les réponses sont faciles et nous laisse le temps de batifoler. Mais plus le temps passe et plus elle nous tortures et nous demande temps et réflexions. Et c'est consciemment et par nécessité que individu cherche ses réponses. Il éprouve du plaisir dans cette douleur et se confronte au grand penseur, seul individus digne d'influence car neutre et créent forcément l'indépendance de choix et d'esprit.
Chaque chose est motivée et prend sa justification dans une double raison consciente et inconsciente.Il faut comprendre l'une et accepter l'autre.
L'individu a peur de la véritable origine de ses sentiments. La recherche de l'amour est une lassitude de la solitude. Chercher l'amitié plutôt que des rencontres c'est avoir conscience que l'individu peu plus nous donner qu'une simple rencontre.
Ayez un rapport utile en tout chose et alors vous serez honnête avec votre moi le plus pur.
Voir la religion comme une éducation. Un point de départ et non un fil rouge qui nous accompagne toute la vie ?
Car face à une éducation on s'y contraint, on l'aime, puis se révolte pour s'en éloigne et la transformer en quelque chose d'autre, de personnel.
Il faut savoir laisser la rencontre se faire. Qui prédit, non seulement se trompe, mais surtout il déforme irrémédiablement l'instant, tuant la magie de la rencontre et pacifie le début de guerre tant recherché.
Rien n'et plus efficace pour faire la paix entre deux ennemies que de créer un troisième, contre lequel s'unisse les haines à l'unisson.
Savoir. Entité intimement mêlé au désir d'évolution indépendante de l'esprit d'être de l'individu.
Sachez ce que vous faites, connaissez ce que vous utilisez. Âmes ce que vous sachez, trouver l'indépendance dans votre recherche de savoir.
Honte à celui qui est avoir de savoir, il fait partie des autres. Honte à celui qui cherche le pouvoir dans le savoir, il fait partie des autres. Hontes à celui qui utilise le savoir sur les individus, il fait partie des autres.
Dépendance entre individus.
Première névrose créée par la société, et combustible de celle ci.
Quand je suis avec Mozart, je ne suis jamais seul. Les grands esprit sont les meilleurs compagnies que l'individuel puisse avoir.
Si l'individuel a besoin des autres pour se construire et savoir ce qu'il n'est pas. Il a besoin de solitude pour trouver ce qu'il est.
À ce titre, les grands penseurs et artistes sont la meilleur des compagnies.
Avec le groupe vient la recherche de pouvoir, et la dépendance à ce pouvoir change les hommes en sous-homme.
Le sous-homme est une partie d'un tout que l'on appel les autres. Il ne peut pas survivre seul. Il est forcément lier au autres par cette dépendance au pouvoir. De ce faite il détruit tout ce que la vie à de beau.
L'homme individuel est constamment écrasé par la grandeur de la vie, forcé a l'humilité par sa petitesse. C'est en tant qu'individu qu'il doit avancer, avec humilité.
Survivre c'est vivre sans comprendre. Un aveugle au pays du regard.
Nous devons d'avoir de recherche que de découvrir où nous somme doué. L'individuel doit prendre comme croisade de savoir où et pourquoi il est doué. C'est a cette découverte qu'il trouvera son principal bonheur de l'instant.
L'homme a beau être qu'un bipède inconscient de sa souffrance et de sa chance la vie l'emmène comme le courant d'une rivière incessante, à travers les pierre et les calmes d'une manière bien plus belle et plus puissante que lui.
La vie trouve toujours son chemin et jamais ne se perd. Pendant que l'homme se perd sans ses cartes, ses gourous et ses modes d'emplois.
On sent bien que la rivière est une seul et même force qui avance comme le temps passe, comme les peuples passent mais lorsque l'on se rapproche on se rend compte de la différence incroyable qu'il y a entre chaque goutte. Dans un cours d'eau, jamais l'eau est parfaitement plate, toujours frétillante chaque goutte avance a sa manière, en prenant un chemin bien différent de ses pairs tout en réglant le pas sur les gouttes qui l'on devancés.
La vie est a ce point magique que vivre en est douloureux. Vivre revient à habiter chez sont ennemie. Côtoyer les défauts du monde, les autres. Se confronter aux roses de schopenhaur tout en endurant leurs épines. Vivre est une douleur nécessaire.. Un mal justifiant la grandeur de la vie.
Vivre ne doit pas se résumer à compenser un manque mais à se réaliser dans une action pleinement choisie.
Je suis passé et j'ai vu les belles photos qu'on voit partout mais aussi tout ce qu'on ne prend pas en photo, l'être humain et une nature plus étonnante à vivre qu'à mettre en images. Certains concepts et idées nécessitent souvent une vision transversale pour atteindre leurs pleins potentiels. Pour ce faire, il ne faut pas forcément chercher à montrer ce que les gens ne veulent pas voir, mais leur montrer ce qu'ils veulent voir d'une manière qu'ils ne s'attendent pas à voir.
I went through and I obviously saw the beautiful pictures that we see everywhere but also everything that we don't take pictures of, the human being and a nature that is more amazing to live than to put in pictures. Some concepts and ideas often require a transversal vision to reach their full potential. To do this, one should not necessarily try to show what people don't want to see, but show them what they want to see in a way they don't expect to see.